This video by Tom Scott about the early history of the web and how we found ourselves in a nightmare of popups and bad web design is worthy of your time. Tom walks through the EU’s legal confrontation with shady advertisers and why so many people are incentivized to be jerks.
L’industrie publicitaire s’est rangée sous la bannière de l’IAB pour bâtir un cadre de « transparence et de consentement », qui est utilisé par la plupart des affreuses CMP parasitant les pages web, et pourrait être directement intégré aux navigateurs. Il est loin d’être parfait, mais fait déjà figure de standard de facto, qui pourrait être repris (et perfectionné) par le W3C.
Mais alors que les CMP poussent l’utilisateur à autoriser la collecte de données, dans une guerre d’usure grignotant notre droit à la confidentialité, une intégration native l’inviterait à la restreindre, dans une bataille joyeuse pour récupérer le contrôle de nos données personnelles. Or in fine, le développement des navigateurs est financé par l’industrie publicitaire.
Google, la plus grande régie publicitaire numérique de la planète, conçoit le navigateur le plus populaire du marché, Chrome1. Google, la plus grande régie publicitaire numérique de la planète, verse chaque année des milliards de dollars à Apple et Mozilla, pour assurer la place de son moteur de recherche (et donc de ses publicités) dans Safari2 et Firefox3. Google, la plus grande régie publicitaire numérique de la planète, fournit les technologies utilisées par la plupart des navigateurs « alternatifs »4.
Vous voyez le problème, ou vous avez besoin d’un lien Google ?
63,54 % de parts de marché en novembre 2020 selon StatCounter. ↩︎
19,24 % de parts de marché en novembre 2020 selon StatCounter. ↩︎
3,79 % de parts de marché en novembre 2020 selon StatCounter. ↩︎
Le moteur Blink et plus largement la plateforme Chromium, notamment utlisés par Microsoft Edge, 3,41 % de parts de marché en novembre 2020 selon StatCounter, et Opera, 2,11 % de parts de marché en novembre 2020 selon StatCounter. ↩︎