To look at, Alberto Frigo is a normal, unassuming type of fellow. That is if you don’t count the Italian’s obsession with documenting every object his right hand has touched for the last 11 years.
Frigo photographie tout ce qu’il touche depuis 2004, à raison de 76 photos par jour en moyenne, et continuera jusqu’en 2040. Un projet qui interroge le rapport de notre société à l’image, les pratiques du lifelogging, et la problématique de la sousveillance. Intriguant. (Via)