Photo prise au Kibidwé, à Bobo-Dioulasso, en mars 2017. Une autre maison conteste ce titre de « maison mère », au cœur d’une querelle entre les Bobo (descendants des agriculteurs qui ont fondé Kibidwé, le « village sous l’arbre » devenu Sya avec le renfort des commerçants dioulas) et les Zara (terme qui pourrait être traduit par « autochtone »)1.
Voir : Katja Werthmann et Mamadou Lamine Sanogo (dir.), La ville de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, Paris, Karthala, 2013. ↩︎